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    Petit Clic sur le lien pour écouter Estelle Massoni n°2 Fn-Fiamma-Corsa.


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  • Cher Monsieur,

    Nous avons pris connaissance de votre lettre ouverte dans le CORSE MATIN concernant les armes à feu. Vos intérrogations sont tout à fait légitimes et nous partageons votre inquiétude, d'autant que nous sommes tout à fait d'accord sur le fait que l'interdiction des armes, si elle devait être prise, constiturait une erreur monumentale.
    Nous nous rappelons le temps où le service militaire existait en France. Tous les jeunes Français de 18 ans, avaient alors appris à manipuler toutes sortes d'armes. Du simple fusil, jusqu'à la mitrailleuse, en passant par la grenade ou le bazooka.
    A ces époques, les meurtres par arme à feu étaient beaucoup plus rares que maintenant, justement parcequ'en étant démistifiées, les armes étaient devenues aussi banales qu'un téléviseur ou une automobile.
    Car si aujourd'hui, le jeune qui possède une arme se sent invincible, c'est précisément parcequ'il sait que les autres ne savent pas se défendre, ce qui le rend arrogant et dangereux. Connaître les dangers d'une arme, apprendre à la manier sans nervosité, savoir  tirer juste, tout cela ne peut que contribuer à atténuer les effets néfastes collatéraux inhérents aux armes à feu. Les armes, redeviennent alors le garant de la sécurité des citoyens contre toutes les oppréssions.
     Si pendant l'Occupation, les Français obéissant à leur gouvernement avaient rendus les armes, ils n'auraient pas pu y avoir de mouvement de résistance. Ce sont en particulier les chasseurs , habitués à manier le fusil, qui ont particulièrement contribué à la délivrance de notre pays. Car l'usage des armes reste le tout dernier recours des peuples opprimés et il faut toujours se méfier des gouvernements qui veulent désarmer leur population. La volonté d'asservissement n'est jamais bien loin!

    Si nous sommes élus, nous veillerons avec le concours de l'éducation nationale, de l'armée, et des associations concernées, à sensibiliser les jeunes sur les dangers des armes, mais aussi sur leur point positif,  comme la maîtrise de soi et l'habileté, afin qu'ils évacus leur agressivité par l'utilisation pacifique des armes, comme le tir ou la chasse.

    Veuillez agréer, Cher Monsieur, l'expression de notre considération distinguée.

    LA LISTE FN-FIAMMA CORSA


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    Retrouvez Tony Cardi tête de liste Fn-Fiamma-Corsa et Estelle Massoni n°2 agée de 24 ans.

    Bravo.

     

     

     


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  • Selon l’Office statistique de l’UE (EUROSTAT), les taux de chômage de l’UE des 27 et de l’eurozone des 16 s’établirent respectivement à 9,5 % et 9,9 % en janvier 2010. Après correction des variations saisonnières, ces taux restent inchangés par rapport à décembre 2009. Séduits naguère par le fallacieux mirage euro-atlantiste, les trois Pays baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) subissent actuellement une situation économique et sociale catastrophiques. L’euro-mondialisme apatride, libre-échangiste et ultralibéral exacerba la crise systémique mondiale et fut responsable de la hausse globale du chômage au sein de l’Union européenne.

    Europe : 22.980.000 chômeurs dans l’UE des 27 (dont 15.680.000 dans l’eurozone des 16)

    Selon un communiqué officiel de l’Office statistique de l’Union européenne (EUROSTAT) diffusé le 1er mars 2010, l’UE des 27 recensait officiellement 22.980.000 chômeurs en janvier 2010, soit 9,5 % de la population active. L’eurozone des 16 comptabilisait 15.680.000 demandeurs d’emploi en janvier 2010, ce qui représentait un taux de 9,9 %.

    Les taux de chômage les plus faibles furent enregistrés aux Pays-Bas (4,2 %) et en Autriche (5,3 %) tandis que l’Espagne (18,8 %) et la Lettonie (22,9 %) affichent les taux les plus élevés. Le chômage progressa dans la totalité des pays de l’UE des 27. Les hausses les plus modérées concernèrent l’Allemagne (de 7,2 % à 7,5 %), le Luxembourg (de 5,4 % à 5,9 %) et la Belgique (de 7,5 % à 8 %).

    En revanche, les trois Pays baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) subirent une hausse catastrophique de leurs taux de chômage. Après l’obtention de leurs indépendances respectives à l’égard de l’ex URSS (11 mars 1990, 20 août 1991 et 8 novembre 1991), la Lituanie, l’Estonie et la Lettonie allèrent de Charybde en Scylla en passant du totalitarisme soviétique à un autre plus pernicieux. Désireuses d’échapper à la sphère russe, les trois nations baltes (comme d’autres en Europe centrale) furent littéralement séduites par le mirage euro-atlantiste en adhérant conjointement à l’OTAN (29 mars 2004) et à l’Union européenne (1er mai 2004). Alors qu’ils n’ont pas encore intégré l’eurozone, ces trois pays subirent de plein fouet les conséquences les plus nocives de la crise systémique mondiale. En raison d’une situation économique et sociale particulièrement dégradées, le premier ministre letton et son cabinet gouvernemental furent acculés à une brusque démission le 20 février 2009.

    mon-emploi-avant-leur-europe-500pxEntre janvier 2009 et 2010, le taux de chômage masculin progressa annuellement de 8,2 % à 9,9 % dans l’eurozone et de 7,8 % à 9,7 % dans l’UE des 27. Durant la même période, le taux de chômage féminin augmenta annuellement de 9 % à 10 % dans l’eurozone et de 8,1 % à 9,3 % dans l’UE des 27. Le chômage des hommes est quasiment équivalent à celui des femmes dans l’eurozone. En revanche, il est désormais supérieur de 0,4 % à celui des femmes dans l’UE des 27. En janvier 2010, le chômage des jeunes (moins de 25 ans) s’éleva à 20,2 % dans l’eurozone et à 20,9 % dans l’UE des 27.

    Le taux de chômage aux USA s’établit en janvier 2010 à 9,7 % de la population active (14.800.000 demandeurs d’emploi) tandis que celui du Japon atteignit 5,1 % en décembre 2009 (plus de trois millions de chômeurs).

    L’Union européenne avait cyniquement promis la prospérité économique, industrielle, commerciale et technologique tandis que l’eurozone devait favoriser la stabilité monétaire pour ses membres. L’euro-mondialisme apatride, libre-échangiste et ultralibéral exacerba les conséquences les plus nocives de la crise systémique globale dans l’UE des 27 et dans l’eurozone. La technocratie européiste détruisit méthodiquement l’agriculture, la pêche et le tissu industriel des différentes nations du continent européen. La désindustrialisation renforce le chômage structurel tandis que la récession économique accélère le processus déjà engagé et inéluctable des délocalisations d’entreprises vers les pays émergents.

    Source : Nations presse info.


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  • Un visionnaire ?

     

    André Malraux écrivait en 1956….
     
      " C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique.
      Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine.   
     Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles.
      A l'origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles.
      Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n'ont trouvé la réponse.   
     De même aujourd'hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'islam.
      En théorie, la solution paraît d'ailleurs extrêmement difficile.
      Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l'aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d'Etat.   
     Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le monde arabe.
      Quand je dis "musulmane", je pense moins au  structures religieuses qu'aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet.   
     Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne conservera le pouvoir qu'en devenant unesorte de dictateur.   

    Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam, si elles avaient été appliquées à temps…   
      
     Actuellement, il est trop tard !
     Les "misérables" ont d'ailleurs peu à perdre.
     Ils préféreront conserver leur misère à l'intérieur d'une communauté musulmane.
       
     Leur sort sans doute restera inchangé.
     Nous avons d'eux une conception trop occidentale.
     Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter,    ils préféreront l'avenir de leur race.
     
    L'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus.   

    Tout ce que nous pouvons faire, c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution". 

    André Malraux, le 3 juin 1956

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